selon nos confrères du Quotidien les échos Les flics de Yeumbeul ont mis fin ce jeudi , aux agissements délictuels de la célèbre Fatou K. Saliou D, infirmière dans une clinique privée, sise à Thiaroye Tally Diallo. Un gros morceau pour les limiers de la Commune. Car, la présumée escroc qui a vraiment de l’ingéniosité à revendre est parvenue à tromper tout son monde, à travers un compte fictif, durant 3 ans. Son arrestation fait présentement beaucoup de bruits et suscite une vague de réactions d’indignation, de colère et d’amertume de la part des victimes de ses pratiques d’escroquerie. Surtout, des compatriotes de la diaspora et beaucoup d’administrateurs de site d’informations du pays. tout a commencé après la création de son compte fictif en 2016 sur facebook et capte des fonds et autres dons de bonnes volontés Durant l’existence de son compte fictif, soufflent nos sources, l’infirmière a réussi à créer, par le biais de ses Post émouvants, un élan de solidarité agissante et de sympathie sur les différents réseaux sociaux, ainsi qu’au niveau des administrateurs de sites et autres groupes WhatsApp. Elle savait en effet, jouer sur les fibres sentimentales des bonnes volontés et leur soutirait beaucoup de sous.
Mais, à l’approche de la dernière fête de Tabaski, indiquent nos informateurs, elle utilise une autre corde à son arc pour rééditer le coup et se faire de l’argent. Et pour y arriver, elle invente une histoire de fille, nommée Mame Diarra qui serait victime de la maladie du Sida et vivrait sans moyens ni assistance en France. A peine le post publié sur son compte fictif, les réactions de compassion et de pitié se manifestent et tapissent la page du compte de la jeune femme. Elle gruge une dame et empoche 400.000 F la veille de la Tabaski pour une soi-disant fille sidéenne, Mame Diarra Une dame, domiciliée à Liberté 6 à Dakar, se joint à l’élan de compassion de la soi-disante fille sidéenne, Mame Diarra, fait un post sur le compte fictif en question et exprime sa volonté de faire un geste pour assister la prétendue sidéenne. L’infirmière-escroc entre en action, loue d’abord le geste de la jeune femme et demande de lui envoyer l’argent sur son compte personnel. Ceci, indique-t-elle, aux fins de récupérer le fric et de le remettre à la malade du sida. la Dame infirmier Fatou K S Dieng organisé toutefois des journées de Solidarité et de soutien aux enfants démunies et aux Dahaaras de sa localité a yeumbeul.